La boutique de Lu

Comme ça fait longtemps que je ne vous ai pas parlé, je vous en offre deux pour le prix d'un.

Toujours de Satoshi Kon mais un classique, Perfect Blue, un thriller que j'affectionne particulièrement. Nous sommes toujours dans l'univers qui mélange l'irréel et le matériel, la paranoïa et la normalité. C'est violent, sanglant, érotique et flippant. Tout se répète mais qui est qui? Où sont les méchants et les saints d'esprit? je vous laisse vous faire des films.

Ce film date de 1998, tout le monde n'aime pas mais même si il y a longtemps que je ne l'ai pas vu, je crois que je me ferais toujours aussi peur.

Parmi les  choses dont je souhaite  vous parler, ce sont les animés.  Aujourd'hui, un chef d'oeuvre de Satoshi  Kon de 2001.  Seuls les connaisseurs sauront à quoi je fais référence mais ce sera le sujet d'un autre article.

Pour l'instant  parlons de Millenium  Actress récompensé  du prix de l'Animation je crois. Bref je vais vous raconter l'histoire à ma façon: il s'agit de Chiyoko, jeune fille qui devient actrice non par envie mais pour lui permettre de traverser le monde afin de courir après son rêve.  Elle conserve une clé  qu'un homme lui avait offert mais qui est parti, elle s'est jurée de le retrouver pour l'aimer.  Je ne sais pas comment vous décrire ce mélange  de passé, de présent,  de réalité, de fiction, d'amour et de souffrance.

Les couleurs sont magnifiques, le dessin d'une finesse inégalée et l'histoire est déroutante. Je dirais que si vous n'avez jamais aimé quelqu'un sans qu'il le sache, vous ne pouvez pas comprendre; bon je suis pas sympa, c'est juste qu'il faut comprendre pourquoi courir après un rêve.

Je vous conseille de le voir pour vous faire une opinion. Disons que c'est étrange et beau à la fois.

Voilà, je vais vous parler d'un classique, alors je les ai juste lu, je ne les possède pas donc tout ce que je vais écrire sera de tête.

C'est l'histoire d'une rencontre entre deux jeunes filles qui possèdent le même prénom "Nana", cela veut dire sept. L'une s'appelle Nana Osaki, elle est gothique, rock et glamour. Elle a été abandonné par sa mère jeune et a donc été élévée par sa grand-mère. Elle est amoureuse de Ren qui est parti pour devenir guitariste dans le groupe Trapnest. L'autre c'est Nana Komatsu, plutôt classe voire classique dans son style, elle a une personnalité de petite fille dans un corps de femme. Vrai coeur d'artichaud, elle enchaîne les histoires sans savoir où elle va. Leur rencontre va changer le cour de leur vie à chacune. Je pourrais en dire bien plus mais je voudrais que vous lisiez cette histoire qui m'a beaucoup plu.

Le dessin est élancé, les personnages sont très maigres mais leur caractère est différent. Le style vestimentaire est très poussé et c'est sûrement pour ça que j'adore.

Aux éditions Delcourt, il y a pas mal de tomes puisque la saga est en cours, par Ai Yazawa.

Et voilà, je fais mon (grand) retour sur ce blog, qui ma foi semble plaire alors je me lance. il faudrait faire un petit point de route mais je pense que se serait un peu long, je peux quand même essayé...

Déjà, je n'ai pas acheté de manga depuis logtemps mais j'en ai moins envie, mais c'est compliqué et il ne s'agit pas de raconter ma vie, par contre, le fait d'avoir été à Angoulême pour le festival de la BD m'a remotivé. En bref, je vais essayer de continuer ce blog en ouvrant mon esprit afin de pouvoir combler tout le monde et afin de garder un peu d'intérêt.

Reprenons où je vous avais laissés... 

En ce jour de cours anulé, je reprends le clavier pour mettre à jour ce blog.

L'infirmerie après les cours, ce n'est pas une histoire de cul! Enfin, pas vraiment mais je vais vous donner des indices: Mashiro Ichijo est un garçon en haut et une fille en bas, bref il a un petit problème d'identité surtout sexuelle. Un soir il est convoqué à un cours spécial dans une infirmerie dans les sous-sols. Chacun s'endort pour être mis à nu dans ses rêves. Mashiro ne regarde alors plus ses camarades de la même façon. Et eux non plus.

Les dessins sont sympas et l'histoire est assez facile à suivre, moi j'ai adoré et j'attends d'avoir un peu de sous pour m'acheter la suite. Il faut aimer la douceur mêlée au cauchemar, avoir envie de savoir ce que las autres sont réellement.

Il y a 9 tomes parus, dans la collection shojo chez Asuka, de Hokaga

Hokenshitsu et Setona Mizushiro.

Aujourd'hui, je vais vous parler d'amuuuuuuuuuuuur. C'est l'histoire d'un lycéen (étonnant!), Moteuchi ou Moténaï, super amoureux d'une fille, Moémi. Mais voilà, la belle préfère le meilleur ami plutôt pas mal au passage. Le coincé de service ne lui en veut pas, ils deviennent amis. Si vous avez compris jusque là, c'est parfait. Moténaï est un gentil garçon, apparaît alors devant le vidéoclub, Gokaru et loue "je te consolerais". Attention aux esprits pervers! Oui, Aï qui sort du magnétoscope (endommagé au début de l"histoire) est super mignonne et sans-gêne, avis aux amateurs de petites culottes. bref, si je vous dis tout, c'est plus drôle alors je m'arrête là.

Le graphisme est particulier, il faut aimer le pur manga aux grands yeux mais le stylisme est interressant. A vous de voir si vous aimer les longues histoires ( au moins 12 tomes) et les rebondissements. C'est drôle par moment mais il y a parfois une très belle poésie. Pourquoi aime-t-on celui qui n'est pas là?

De Masakazu Katsura aux éditions Tonkam.

Attention mesdames et messieurs, vous n'allez pas en croire vos yeux, il est beau, il est jeune, il est fort et il aime les jolies filles! Mais oui mais c'est bien sûr Shirô Kusanagi! Il a 16 ans, n'est qu'au lycée mais s'attire toujours des ennuis. Pour citer et j'adore cette phrase " fort contre les hommes...faible avec les femmes". Je vous laisse découvrir.

Les dessins sont pas mal, assez aboutis mais les jeunes filles ont toutes le même minois, dommage. Enfin, il y a 9 tomes et je n'ai que le premier, le dessin évolue certainement mais bon c'est assez vif et marrant.(pour ne rien vous cacher c'est le genre de mec qui me fait fantasmer mais chut!)

De naoki Serizawa aux éditions punch Comics dans la collestion Shonen.

Aujourd'hui, je vais vous parler d'un classique de 32 tomes (pour l'instant!). Il s'agit bien d'une histoire interminable et pour tout vous avouer, je n'en suis qu'au tome n°11. Pour ne pas vous en faire tout un plat, l'histoire raconte celle d'un jeune homme, Keichi Morisato, qui forme un numéro par erreur et se retrouve avec une déesse, Belldandy. Le pauvre est un peu maladroit et c'est pour ça qu'on l'aime.

Le dessin évolue tout au long du manga, différents personnages apparaissent mais ils ont tous leur personnalité. C'est évidemment à ne pas rater pour ceux qui ont de l'argent(lol), qui aiment les histoires qui durent un peu ( et oui pas facile de déclarer sa flamme) et qui aiment le stylisme, l'auteur démontre une certaine imagination parfois loufoque mais toujours intéressante. Ah oui et aussi pour ceux qui aiment les motos et la mécanique parce que le personnage principal adore ça.

Par Kosuke Fujishima aux éditions Pika.

Qui dit manga, dit aussi niaiserie, c'est une question d'ouverture d'esprit, j'aime autant Goth que Magie Intérieure! Le premier tome m'avait été offert par une amie que je salue bien, j'ai donc continué la série (4 tomes). Mais ce n'est qu'une anecdocte, passons.

C'est l'histoire d'une jeune fille qui a hérité le don de sorcellerie de sa maman, elle possède un chat avec qui elle communique dans ses rêves et vient d'arriver dans une nouvelle classe. Haruko a une légère tendance à se laisser submerger par ses émotions et donc pleure assez souvent mais ce qui fait la magie de ce récit c'est avant tout les secrets des personnages, les rebondissements dans l'histoire.

Les dessins sont assez classiques, les gros yeux et les uniformes d'école mais même si cela parait parfois un peu lourd, on avance assez vite car il y a aussi pas mal d'humour; c'est assez gentil, sans violence ni méchanceté, pour ceux qui aiment les histoires qui se terminent bien et qui voudraient bien connaître ça.

Par Saki Hiwatari aux éditions Delcourt.

Hier, j'ai lu le manga (tome unique) que j'avais acheté uniquement par curiosité: la couverture me plaisait mais je n'avais aucune notion de l'histoire. Et bien, j'ai été servi, je m'étais préparé à quelque chose de glauque et sanglant mais pas à ce point, c'est d'une violence qui vous fait un peu froid dans le dos.

Il y a plusieurs chapitres et à chaque, un personnage différend raconte ce qu'il vit mais il y a deux personnages principaux, le garçon qui passe pour normal alors qu'il a une profonde passion pour le macabre, Kamiyama Itsuki et Morino Yorû, une jeune fille à la chevelure noire corbeau qui elle aussi a ses secrets.

Le livre est entièrement en noir et blanc, le dessin est épuré mais on regrette un peu que les personnages se ressemblent un peu tous. Cela permet tout de même de faire durer le suspense, je pense à voulu jouer avec cette ressemblance pour destabiliser le lecteur. 

Cette oeuvre est donc destinée à un public averti mais surtout à ceux qui aiment le noir.

Aux éditions Senpai, de Ôiwa Kendi et Otsuichi.